[Musashi]

[Yoo]

Pour Inamoto, il à joué avec West Bromwich Albion et Fulham qui, s'ils n'ont pas le standing d'Arsenal, n'en demeurent pas moins des clubs de l'élite anglaise et dans lesquels il n'a pas laissé que des mauvais souvenirs, apparement.

Sinon, dans la liste de ceux qui ont joué ou jouent toujours à l'etranger avec des fortunes diverses, on pourrait rajouter Atsushi Yanagisawa à Messina, Shunsuke Nakamura à la Reggina et des moins connus comme Atsushi Katagiri à l'Athletico Quilmes en Argentine ou Masayiko Maezono à Anyang en Corée du Sud après être passé par Santos et Goias ou Brésil .

[Musashi]

[Yoo]

Elite anglaise = Premier League = équivalent de la 1ère division française pour information .

[Musashi]

[Yoo]

(Manchester United, j'imagine -car il y a 3 clubs à Manchester, pour information, dont United, City et Oldham pour les plus connus- . Et d'ailleurs, beaucoup aussi parlent de la Premier League en général comme d'une élite, aussi invraisemblable que ça puisse paraitre. Ca ne date pas d'hier Et ne pas oublier Chelsea, Everton ou encore Tottenham parmis cette élite --- fin du HS).

Voici un article trouvé sur le site sportever.fr (http://www.sporever.fr/Football/Champions_League/story_166077.shtml) qui me semble intéressant à propos des joueurs japonais qui vont chercher fortune à l'étranger:

[i]L’appât du gain
11 mars 2005 - Pierrick TAISNE
Depuis Hidetoshi Nakata, une quinzaine de Japonais a rejoint l’Europe. Si les joueurs y voient une opportunité de pratiquer leur sport à haut niveau, les clubs ont en ligne de mire les intérêts financiers que pourront provoquer ces transferts. Petit voyage dans le monde du business du soleil levant.


Nakata, Nakamura, Inamoto, Ono. Ces footballeurs ont en commun d’être japonais. De posséder leur propre site Internet également. Mais surtout d’être d’immenses stars dans leur pays. Partout où elle se déplace, la sélection nippone fait se lever les foules. Et rentrer l’argent dans les caisses. Les clubs européens n’ont donc pas laissé passer l’aubaine. Ils sont une quinzaine de joueurs à avoir tenté leur chance sur le Vieux Continent. Et donc une quinzaine d’équipes à avoir accueilli ces éléments prometteurs. Dans bien des cas, la logique de ces recrutements est loin d’être sportive. Luciano Gaucci, président de Pérouse, fut le pionnier de ce mouvement. En recrutant Hidetoshi Nakata, il a ouvert la voie à ses collègues présidents. Car ce que beaucoup d’observateurs ont pris pour une excentricité – une de plus – à l’époque s’est révélée comme un véritable coup de génie. Les ventes de maillots et produits dérivés de la star nippone ont considérablement augmenté au Japon mais également en Italie. Les touristes nippons n’envisageaient pas ne pas passer par Pérouse lors d’un voyage en Italie. Impensable.

Arsenal, Hambourg, Rome et Parme ont donc tour à tour profité du filon en engageant des Japonais. Mais d’où vient cet attrait soudain des Nippons pour le football ? Pour Hikaru Hayashi, directeur de l'Institut de recherche de l'agence de publicité Hakuhodo, les jeunes « se jettent sur une chose et s'en débarrassent aussitôt pour passer à une autre. Si leur instinct les porte vers une activité ou un objet, ils s'y donnent à fond. » Mais les plus fervents supporters ne sont pas ceux qu’on imagine. Ainsi, les hooligans japonais sont en mini-jupes, avec des couettes et crient hystériquement le nom des joueurs.

En France aussi, on a suivi la mode. Montpellier est le premier club à s’être mis au japonais. Mais en signant Nozomi Hiroyama, le club de Loulou Nicollin n’a pas eu le nez creux. Avec sept matchs en Ligue 2, le bilan est loin d’être au niveau des espérances. C’est désormais le Mans qui s’essaye à l’expérience depuis cette année avec l’arrivée de Daisuke Matsui. Avec un résultat nettement plus concluant. L’ancien pensionnaire de Division 2 japonaise n’en finit plus d’enchaîner les bonnes performances sportives mais génère également un profit non négligeable. Comme pour Nakata, il est le joueur dont le maillot se vend le plus en Sarthe. Un carton des 300 tuniques floquées à son nom vient même d’être envoyé au pays du soleil levant. Et que dire des entreprises japonaises qui vont s’implanter dans la région ? Matsui est un moteur pour l’ensemble des partenaires du club et du conseil général, qui se réjouit de l’aubaine. On imagine alors l’impact commercial si le Manceau venait à rejoindre en Ligue 1, Koji Nakata, premier Japonais à jouer à ce niveau.[/i]

En souhaitant que d'autres joueurs japonais suivent la voie de Koji Nakata, pour ne parler que de la France.

[Musashi]

Oui, ceci est un des articles publiés dans le dossier de Football365.fr assez complet, mais peu connaisseur...
Pour beaucoup de gens, Japonais = fric