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le cinéma japonais

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zooglub
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MessagePosté le: 24 Oct 2003 10:54    Sujet du message: le cinéma japonais

 Note du Post : 3   Nombre d'avis : 6
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en faisant des recherche sur le japon j'ai trouve cet article excellent. plein de references et plein d'instructions. voila donc pour vous un article des plus instructifs Very Happy


Le cinéma japonais présente aujourd'hui un double visage, avec, d'un côté, le formidable essor des industries de l'image (télévision haute définition, vidéodisques) – les firmes nippones prennent des parts dans les grands studios hollywoodiens, ou les rachètent, afin de contrôler toute la chaîne (production, catalogue de droits) devant alimenter leurs produits –, et, de l'autre, une certaine permanence du cinéma d'auteur, illustrée par la figure d'Akira Kurosawa, véritable légende vivante, dont la carrière dure depuis cinquante années. Mais le fait que Kurosawa doive faire appel à des capitaux étrangers (notamment américains, pour Rêves , en 1989) dit assez l'état d'abandon d'une cinématographie qui, par le passé, a su conjuguer vitalité économique et exigence artistique, permettant à des cinéastes de grand talent comme Kenji Mizoguchi ou Yasujiro Ozu de poursuivre leur œuvre à l'intérieur des studios.


Tradition théâtrale et système des studios
Le cinéma arrive tôt au Japon (Edison en 1896; les films Lumière en 1897), et c'est dans les formes du théâtre classique (nô, kabuki) que les premiers cinéastes puisent leur inspiration. Cette influence théâtrale se fait sentir dans le jeu des acteurs – jusqu'en 1918, dans la tradition du kabuki, les rôles féminins sont tenus par des hommes – et, tout au long de la période du muet, dans l'accompagnement des films: à la différence des cinémas occidentaux (accompagnement au piano ou avec l'orchestre), le cinéma japonais, dans le sillage du théâtre de marionnettes (bunraku), a recours à des conteurs professionnels (benshi), bonimenteurs qui miment les dialogues et brodent sur l'histoire racontée par le film. Lors de l'arrivée du parlant, ces populaires benshi organisent des manifestations violentes contre les cinéastes ayant abandonné le muet – et contre les salles qui diffusent leurs films –, ce qui provoque un certain retard de la production japonaise dans ce domaine.



Tokyo et Kyoto
L'industrie cinématographique nippone se construit sur le modèle hollywoodien, avec la création de la Nikkatsu, en 1912, et de la Shochiku, en 1920. Les deux principaux centres de production sont alors Tokyo – spécialisé dans le genre Gendai-geki, films dont l'histoire se déroule après 1868, soit après le début de l'ère Meiji – et Kyoto, ancienne capitale et ville-musée – spécialisée dans le Jidai-geki, genre historique (films de samouraïs notamment) abandonné dans le cinéma contemporain, les films de Kurosawa (Kagemusha, 1980; Ran, 1985) constituant l'exception qui confirme la règle. Le cinéma japonais des années 1920 est influencé par le cinéma américain (burlesque et films d'action en particulier) et par le nouveau théâtre réaliste, le Shin-geki, inspiré de l'Occident (Strindberg). De cette double influence naît le genre Shomin-geki (comédies populaires ou drames des petites gens), auquel des auteurs comme Heinosuke Gosho (le Fardeau de la vie, 1935) ou Mikio Naruse (Nuages flottants, 1955) resteront toujours attachés, sans oublier Yasujiro Ozu, dont l'œuvre entière, jusqu'aux derniers films (Voyage à Tokyo , 1953; Fin d'automne, 1960), brode invariablement autour des mêmes thèmes familiaux (la solitude à l'approche de la mort; un mariage arrangé), avec une absolue simplicité dans l'expression de l'émotion.

Du divertissement au réalisme
La crise économique de 1929, peu après l'avènement de l'empereur Hirohito, produit un écho contradictoire sur les écrans, suscitant, d'une part, le déploiement des films de genre et d'évasion (histoires de samouraïs) et, de l'autre, celui des films réalistes – avec la contribution remarquable de Kenji Mizoguchi (Sœurs de Gion, 1936). La guerre déclenchée en 1937 contre la Chine fait du cinéma, comme en Allemagne, l'outil privilégié de la propagande nationaliste (films militaristes et d'espionnage); la loi japonaise sur la censure, instaurée en 1939, est directement calquée sur celle du IIIe Reich. Pour échapper à cette voie, certains cinéastes se réfugient dans les films historiques (les Quarante-Sept Ronin de Mizoguchi, 1941-1942, en deux parties), alors que le jeune Kurosawa, qui débute à l'époque de la guerre, réalise quelques films de commande (le Plus Beau, 1944).


L'âge d'or des années 1950
Après la défaite, l'épuration envisagée dans les milieux cinématographiques est bientôt abandonnée, de crainte d'affaiblir l'industrie. L'Amérique dicte sa loi (censure, sujets interdits) et envahit le marché de sa production. Cette situation provoque en retour un réflexe identitaire qui sera bénéfique pour le cinéma national, lequel connaît dans l'immédiat après-guerre un véritable âge d'or économique – avec plus de 500 films par an, le Japon devient le plus gros producteur de films au monde, avant les États-Unis – et artistique. Le cinéma de genre populaire s'enrichit de films fantastiques (histoires de fantômes inspirées de la littérature et du théâtre nô, et films de monstres, tel le fameux Godzilla d'Inoshiro Honda, 1954), de films avec duels au sabre (chambara), de films de gangsters et de films érotiques. C'est à cette époque que le cinéma japonais, via Kurosawa et Mizoguchi, et grâce aux festivals de Cannes, de Venise et de Berlin, accède à la reconnaissance internationale. Mizoguchi réalise alors ses plus beaux films (la Vie d'O'Haru, femme galante , 1952; les Contes de la lune vague après la pluie, 1953; l'Intendant Sansho, 1954), peintures sans concession de l'enfer social, dans le monde féodal comme dans le monde contemporain, et dont la femme (interprétée par l'inoubliable Kinuyo Tanaka) est à la fois l'enjeu et la victime. Pour sa part, Kurosawa surprend par la diversité de son inspiration et de son style, passant de l'influence néoréaliste (Vivre, 1952) au film d'action (les Sept Samouraïs, 1954), et adaptant les grands écrivains occidentaux (Shakespeare, Dostoïevski).

La relève des indépendants
En 1960, on dénombre plus d'un milliard d'entrées, pour une production de 547 films; mais la fréquentation des salles a déjà chuté de moitié en 1963, avant de se stabiliser, en 1972, autour de 180 millions d'entrées. Contrairement à Hollywood, l'industrie japonaise du cinéma ne saura pas empêcher le détournement massif du public des salles vers le petit écran. Néanmoins, la crise des studios favorisera l'émergence d'une nouvelle génération de cinéastes: alors qu'en 1960 deux films seulement – sur 547 – sont des productions indépendantes, en 1965 il y en a 219.



L'emblème de cette génération en rupture avec le système, contemporaine de la Nouvelle Vague française, est certainement Nagisa Oshima: très politisé (Nuit et Brouillard au Japon, 1960; le Petit Garçon, 1969), proche de l'extrême gauche, il n'hésite pas à traiter du sexe, véritable tabou, dans les Plaisirs de la chair (1965) et dans l'Empire des sens (1976), coproduction franco-japonaise qui vaudra au cinéaste de multiples procès dans son pays, et la reconnaissance internationale. La «nouvelle vague» japonaise est illustrée également par Kiju Yoshida (Éros + massacre, 1969) et par Shohei Imamura, l'auteur de la superbe Ballade de Narayama (1983), primée à Cannes, et de Pluie noire (1989, sur le désastre d'Hiroshima).


Mais les productions indépendantes avaient commencé à décliner au Japon dès le début des années 1970. Aujourd'hui, Oshima et Kurosawa doivent faire appel à des coproductions, voire à des productions étrangères, et, malgré quelques éclairs récents (Mitsuo Yanagimachi), le cinéma apparaît en plein désarroi dans un pays où le développement de la télévision, contrairement à la Grande-Bretagne ou à la France, n'a pas contribué au renouvellement de la création.
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remuka
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MessagePosté le: 24 Oct 2003 12:22    Sujet du message:

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Dis donc, il date un peu ton article... Kurosawa est mort en 1998 quand même Rolling Eyes ... (sur sa mort, voila un petit lien pour ou celles que ça intéresse...
http://www.ilyfunet.com/ovni/1998/424/art2.htm ).
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zooglub
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MessagePosté le: 24 Oct 2003 14:53    Sujet du message:

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victor hugo est mort il y a presque un sciecle et demi pourtant on arrive pas a retrouver quelque chose qui lui arrive a la cheville, donc...

non je l'ai mis ici par ce qu'il a vraiment beaucoup de bonne reference alors ceux qui veulent connaitres de bon film japonais peuvent ce fournir ici.
mais c'est sur il faudrait ajouter une derniere partie..
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spip5
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MessagePosté le: 24 Oct 2003 19:23    Sujet du message:

 Note du Post : 4.33   Nombre d'avis : 3
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Non seulement il date mais il est loin d'être complet. Confused

Bon, niveau datation, effectivement, rien sur Kyoshi Kurosawa, Hirokasu Kore-eda, Oshii, même pas un mot sur le (trop ?) célèbre Takeshi Kitano. Et pour les année 80, que nenni. (Ajout s'il fallait en faire un à l'article : un projet d'aide au financement des films comparable à celui existant en france avec "l'avance sur recette" et les aides du CNC est en étude en ce moment au Japon).

Sinon, il est très sommaire, utile pour un novice, mais autant lire le bouquin sur "le cinéma japonais" dans la collection 128 (en 128 pages donc, par le trop connu - cette fois aucun doute Twisted Evil - Max Tessier), ça analyse au moins les passages d'une époque à l'autre et les contradictions internes qu'il peut y avoir au sein d'une période (que tout le cinéma japonais depuis les 60's se base sur de l'anti-nouvelle vague, ça m'hérisse un peu le poil Exclamation ).
Rien sur les anime, "comment aborder la violence apparente du cinéma nippons lorsque l'on est occidental", emploi d'adjectifs forts sans argumentation ("superbe Ballade de Narayama"), simplification à outrance du cinéma de Mizoguchi (rappelons qu'il a fait environ 120 films, par conséquent 3 exemples ça me semble un peu insignifiant).

Enfin, bien essayé quand même Zooglub Wink
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remuka
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MessagePosté le: 25 Oct 2003 15:25    Sujet du message:

 Note du Post : 4   Nombre d'avis : 1
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zooglub a écrit:
victor hugo est mort il y a presque un sciecle et demi pourtant on arrive pas a retrouver quelque chose qui lui arrive a la cheville, donc...

Je voulais juste signifier que ton panorama du cinéma japonais était, comme tu l'as toi même signalé après coup, très incomplet. En effet il s'arrête à la crise du cinéma nippon, donc vers la fin des années 80. Il serait intéressant à l'avenir, lors de ce genres de posts de préciser la date de l'article (ainsi que ses références).

Je ne suis pas un fervent admirateur des "classiques de l'âge d'or" du cinéma japonais (hormis quelques Ozu), et je me reconnais bien plus dans le "nouveau cinéma nippon" qui a émergé justement de cette crise de la production des 80's. Des réalisateurs, comme Kyoushi Kurosawa - cité par spip- ont justement percé grâce à cette crise. De nombreux films d'un goût douteux, plus ou moins horrifico-érotiques - les compagnies de productions étant devenues particulièrement timorées, elles ne finançaient que des films de genre ou des films érotiques softs... cf. le célèbre "roman-porno" - ont été produits à cette époque. Dans ces films, les auteurs réussissaient parfois à introduire des éléments plus personnels... On a ainsi vu des films érotiques-philosophiques, des films érotiques-politiques... Ainsi, partant d'un sous-genre agonisant, les plus doués ont réussi à introduire une nouvelle conception du cinéma, plus en adéquation avec l'époque actuelle.
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spip5
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MessagePosté le: 27 Oct 2003 18:57    Sujet du message:

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remuka a écrit:
je me reconnais bien plus dans le "nouveau cinéma nippon" qui a émergé justement de cette crise de la production des 80's. Des réalisateurs, comme Kyoushi Kurosawa - cité par spip- ont justement percé grâce à cette crise. De nombreux films d'un goût douteux, plus ou moins horrifico-érotiques - les compagnies de productions étant devenues particulièrement timorées, elles ne finançaient que des films de genre ou des films érotiques softs... cf. le célèbre "roman-porno" - ont été produits à cette époque. Dans ces films, les auteurs réussissaient parfois à introduire des éléments plus personnels... On a ainsi vu des films érotiques-philosophiques, des films érotiques-politiques... Ainsi, partant d'un sous-genre agonisant, les plus doués ont réussi à introduire une nouvelle conception du cinéma, plus en adéquation avec l'époque actuelle.
As-tu vu The Excitment of the Do-Re-Mi-Fa Girl dudit Kurosawa de 1985 (film érotique soft) Question Si tel est le cas, je voudrais bien ton avis dessus car, bien que reconnaissant de grandes vertues à Kaïro par exemple, j'avoue que là je suis resté perplexe.
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remuka
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MessagePosté le: 27 Oct 2003 23:08    Sujet du message:

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J'avais vu Doa 3 lors d'une rétrospective à la Maison du Japon, qui est un peu dans ce style.... Wink Le plus réçent Hebi no michi était déja nettement plus intéressant, bien que sentant très fort le petit budget et le cahier des charges soufflé par la production... Je n'ai pas vu The Excitment of the Do-Re-Mi-Fa Girl, qui semble être son deuxième film, mais rien que le titre déja, c'est tout un programme ... Very Happy
Tu peut trouver sa filmo sur IMDB ( http://french.imdb.com/name/nm0475905/ )....
Si j'ai le temps, j'essaierai de faire un post sur ce réalisateur au travail inégal mais très intéressant...
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spip5
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MessagePosté le: 27 Oct 2003 23:27    Sujet du message:

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Merci pour ta réponse rapide Remuka Smile .
De même pour le lien hypertexte, mais étant étudiant en cinéma je connais déjà imdb (pour ceux qui chercherais à suivre la discussion, imdb="internet movie data base", le site le plus utilisé en occident dès qu'on cherche une info cinéma). Toutefois, comme cela fait un piti moment que je l'utilise, j'ignorais cette version francisé Laughing .
J'en esperais aussi beaucoup du titre (ah mes émois adolescents !), mais je fus déçu en fait Sad .
Rappel : pour les parisiens, projection gratuite de Kairo à l'Association des Amitiés Asiatiques (coordonnées ici : http://aaaparis.net/ ; non contrairement aux apparences du site ce n'est pas une secte Wink ) le 7 novembre à 19h.
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remuka
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MessagePosté le: 27 Oct 2003 23:37    Sujet du message:

 Ce message n'a pas encore été noté.
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spip5 a écrit:
Rappel : pour les parisiens, projection gratuite de Kairo à l'Association des Amitiés Asiatiques (coordonnées ici : http://aaaparis.net/ ; non contrairement aux apparences du site ce n'est pas une secte Wink ) le 7 novembre à 19h.

Merci pour l'info Very Happy ...
<hs>
J'ajoute au passage que AAA est aussi une école de langue, qui propose de temps en temps des cours gratuits d'initiation au japonais... Pour ceux/celles qui pourraient être intéressés. Il me semble d'ailleurs qu'il y a un ancien prof (Japonais) de l'INALCO, mais j'ai oublié son nom Embarassed .
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Fuse
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MessagePosté le: 11 Nov 2003 22:26    Sujet du message:

 Note du Post : 4   Nombre d'avis : 1
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Juste pour compléter un peu plus les très nombreuses informations déjà données par tout le monde, je propose un autre ouvrage.

« Le cinéma japonais de ses origines à nos jours » La cinémathèque française, 1985. prix ? Heu, j’en sais rien on me l’a offert y’a très longtemps ^^

Comme va sûrement le faire remarquer avec justesse ‘Remuka’, l’ouvrage est assez ancien. Son principal intérêt et surtout de faire une présentation de très nombreux films japonais anciens (ça tombe bien ^^). À chaque fois la petite fiche présente toutes les informations sur le film, les acteurs et les principaux collaborateurs. Un résumé de l’histoire complète la petite fiche. C’est une véritable petite référence à lui seul malgré sa petite taille (140 pages). Un livre à consulter plus qu’à lire.

A+

Fuse
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