[ElieDeLeuze]

満天下　秋の金色　天下り
man tenka - aki no kiniro - amakudari

Partout dans le monde, l'automne est coloré d'or.... comme la retraite dorée des politiciens.
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[groutcho]

単語と理念
筆が忘れる
墨の春

tango to rinnen
fude ga wasureru
sumi no haru

Mots et idées
Le pinceau a oublié
Printemps d'encre

[Rhaya]

Mon tout premier :

鐘みたい (kane mitai)
風中花は (kazechuu hana ha)
春を鳴く (haru o naku)

Telle des cloches, dans le vent, les fleurs sonnent le printemps

Apparement, 風中 n'est pas correct et je ne sais pas par quoi le remplacer pour garder l'idée.
J'ai aussi cherché à remplacer le 花 par quelque chose de plus spécifique, telles nos "clochettes" dont je n'ai pas trouvé la traduction, ou par des fleurs du genre jacinthe et campanule mais il y a alors trop de syllabes.

[groutcho]

窓閉める
でも子の笑い
よく聞く

まど・しめる
でも・こ・の・わらい
よくきく

Les fenêtres sont fermées
mais on entend bien
le rire des enfants

[ElieDeLeuze]

Le vent de l'hiver
qui parfume la campagne
me glace le sang

Tige langoureuse
d'une tulipe courbée
quelques heures encore

Comme tu es beau
mais que ta valise est lourde
dis-moi, où vas-tu?
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[groutcho]

亀や鳥
二つ紺へ浮く
浜と炎天

かめやとり
ふたつこんへうく
はまとえんてん

Oiseaux et tortues
Flottent vers les deux bleus
Rivage et soleil brulant

[Steph]

Rose émoi d'un ciel
Parfait l'instant d'un regard
ce matin d'hiver

Matin de ciel bleu
Yeux fermés face au soleil
Sur le quai de gare

Et pour trancher avec la pluie du soir:

Sans son parapluie
Sous le trottoire inondé
Mon reflet penaud

ou avec une variante:

Mon reflet penaud
Sous le trottoire inondé
Sans parapluie – Zut !


Steph
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"Grimpe en douceur petit escargot, tu es sur le Fuji!" (Kobayashi Issa)

[Novecento]

Un long baiser
dans la blancheur de l'été
et le rire des pêches

Jardin sous l'orage,
Le sourire d'un papillon
Aux portes du soir

Cendres d'encens
et la danse des pétales
dans l'aube espiègle

N
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Pô Pô Pô hato Pô Pô!

[Tsuyoshi Otomo]

C'est par une nuit étoilé,
A l'abris sous les fleurs de cerisiers,
Que le temps piéger,
Par sa propre particularité,
Permis un moment des plus délicieux.

Ce premier baiser,
Envoûté, envoûtant,
Les deux futur amants,
Ce n'était que le commencement,
D'un printemps aux saveurs fruité.

Sur cette herbe fraîche,
En tenu d'Adam et Eve,
Qu'une mélodie magmatique s'éleva,
Regard apprivoiser,
Cœur entrelacer.

La lune décliné,
Emportant notre secret,
Sonnant la reprise du temps,
Avant le retour triomphant,
De l’amant au reflet laiteux.


By me !
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OoOoO Si je t'avoue, que diras-tu ? OoOoO

[Bago]

Un été ardent,
la chaleur brouille mes pensées,
noyé dans l'ivresse...

Bago...
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Deviens ce que tu es...
Friedrich Nietzsche