Partir a l'etranger signifie souvent avoir une annee de decalage et pour beaucoup, une annee "perdue." En plus, le yen etant faible ces dernieres annees, cela revient cher de partir.
De plus comme souligne dans un article du Japan Times, beaucoup de japonais partis etudier a l'etranger ont confie avoir eu enormement de difficultes pour trouver un boulot au Japon.
Les employeurs au lieu de les embaucher comme un atout, ils les voyaient comme des employes qui ne rentreraient pas dans "le moule" de la boite classique japonaise.
Je n'ai plus tous les details en memoire mais face a ce constat d'echec, ces etudiants diplomes japonais ne comprenaient pas pourquoi avec de tels atouts ils etaient discrimines.
Au final ils ne trouvaient grace qu'aupres des boites internationales ou simplement repartaient a l'etranger depites par leur propre pays.
"Plus récentes"...
Oui et non car il faut parfois savoir échapper à un "présent perpétuel" et mettre en perspective les évènements ou annonces.
Mais oui, des mesurettes sans impact réel, je te rejoins.
Oui c'est vrai. Du coup je me demande dans quels secteurs travaillent les expats francophones mais bilingues en japonais, qui travaillent depuis longtemps au Japon.. sans qu'ils soient licenciés.;(peut-être les NTIC, la finance et la boulangerie?)
Dernière édition par neptune75 le 20 Avr 2016 12:03; édité 1 fois
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