100 oeuvres exposées dans 4 salles (printemps, été, automne, hiver) vous entraîne dans l'ère Edo et le monde des estampes japonaises (sans les membres disproportionnés que sous-entend invariablement ces mots). Le décalage temporel est d'autant plus intense que vous aurez à votre disposition des photos moderne des mêmes vues ! Regardez bien les numéros, de plus un plan de la ville de Tôkyô est exposé avec ces mêmes numéros pour une localisation.
Y étant allé le jour de l'ouverture (samedi 14 donc), j'ai eu aussi la chance de voir une démonstration d'impression des estampes. Il y a d'ailleurs, une série d'estampe (le pont sous la pluie - photo ci-dessous) montrant les étapes d'impressions couche par couche, la différence entre 2 images est quelques fois si subtile que l'on se retrouve à jouer au jeu des 7 erreurs .
Cet art semble être en perte de vitesse au Japon, car il ne reste plus que 12 imprimeurs et 13 graveurs au Japon. L'imprimeur qui fait le démonstration fait parti de ce petit groupe. Malheureusement, ces démonstrations sont reparties sur 2 journées seulement, samedi 14 (passé) et le mardi 17 mai ! La démonstration est faite 3 fois par journée et dure 45 minutes. Samedi, les horaires étaient 14h30/16h30/17h30. Pour mardi, je ne sais pas, renseignez-vous. C'est très instructif, et un interprète est là pour ceux qui veulent poser des question à l'imprimeur. _________________ Dans ses yeux, y'a tant d'soleil
Que quand elle me regarde, je bronze.
Renaud.
Inscrit le: 14 Fév 2005 Pays, Ville: France, Paris
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Ben c'est que la démonstration d'impression portait sur celle-ci, peut-être
en tout cas, merci pour l'info. car c'était passionnant de regarder ce travail avec les commentaires
L’expo est reussie concernant la presentation des estampes d’Hiroshige. Elles sont bien presentees et bien eclairees malgre une certaine petitesse des pieces ou elles sont exposees (ce qui se ressent des qu’il y a un peu de monde comme pour la journee de vernissage le vendredi). Les explications concernant les methodes de fabrication d’une estampe avec en plus la presence d’un artisan etait aussi une tres bonne chose.
Le seul petit bemol serait sur l’evocation d’Edo qui est un peu rate. A aucun moment, on ne se sent proche de l’esprit ou de la vie d’un ‘Edokko’ de la belle époque. Peu d’explications aussi sur les raisons de la disparition de cet Edo au depend de la ville ‘moderne’ de Tokyo. Nul n’est parfait …
A la maison de la culture du Japon, on peut admirer l'INTEGRALITE des estampes d'Iroshige de la collection ""Cent vues célèbres d’Edo".
Voici le lien http://www.mcjp.asso.fr/cadrgen.html
Je vous conseille cette exposition car les couleurs utilisées sont magnifiques, notamment le rouge et le bleu.
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). Le décalage temporel est d'autant plus intense que vous aurez à votre disposition des photos moderne des mêmes vues ! Regardez bien les numéros, de plus un plan de la ville de Tôkyô est exposé avec ces mêmes numéros pour une localisation.
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des estampes d'Iroshige de la collection ""Cent vues célèbres d’Edo".
